Close

Première sous couche électronique : le contrôle automatique des moteurs

A project log for SteamBot Willie

Un robot à ficelles ElectroPunk (défi 0 plastique), le plus léger possible et intégrable à terme dans un ours en peluche

llollo 09/14/2017 at 14:100 Comments

J'ai passé la journée d'hier à me creuser la tête pour faire le tri entre ce qui était du domaine du possible, de l'efficace et de l'élégant entre l'usage total du VHDL, celui de l'assembleur machine de Microchip et un mix des deux.

Pourquoi ? Eh bien, déjà les puces PIC de Microchip disposent toutes d'un solide support de gestion de l'énergie, et c'est bien mon objectif de réussi à une gestion aussi intelligente et fine que possible de cette énergie, donc l'emploi de PIC pour le contrôle automatique des moteurs est très pertinent. Ensuite, vient la question de savoir où fixer la limite entre l'usage des PIC et l'usage d'un FPGA plus complexe et capable de gérer des actions bien plus sophistiquée. Bref, où s'arrête le contrôle inconscient et où commence le contrôle volontaire ? Étonnamment plus haut que je ne l'aurai cru au vu de ce que j'envisage pour la suite. On a beau se persuader qu'on est UNE seule personne, en réalité entre les automatismes de notre corps, ceux de notre cerveau et notre volonté, les frontières sont poreuses, floues même.

Je pense utiliser les PICs pour le contrôle de l'énergie globale et locale et de la limite de charge et d'amplitude des moteurs qui en découle, mais il faudra aussi que j'envisage une passerelle entre ces PICs et les PICs permettant la gestion automatique des mouvements, ainsi qu'une entre ces derniers et la puce en FPGA qui gérera des mouvements purement conscients et élaborés, lesquels pourront surpasser partiellement cette gestion automatique.

Tout un programme !

Je compte commencer la programmation par la gestion de l'énergie, laquelle est le niveau de complexité le plus bas, en utilisant MPLABX couplé à un programmeur PicKit3. Un article sur le sujet est prévu pour bientôt, j'espère dans Hackable Magazine. J'achèterai ensuite un ICD 3, afin de bénéficier d'un débugage, lequel deviendra indispensable à mesure que la complexité ira croissante.

Discussions